Etablissements de Biarritz ayant recus des blessés
ETABLISSEMENTS DE BIARRITZ AYANT RECUS DES BLESSES
Hôpital bénévole 87 Bis
Fonctionne depuis le début de la guerre, août 1914. Fermeture en 1920 - Service de chirurgie - Capacité 300 à 350 lits
Hôpital bénévole 88 Bis
Fonctionne depuis le début de la guerre, septembre 1914 jusqu’au 30 juin 1915 - Capacité 150 lits -
Hôpital bénévole 89 Bis
Fonctionne depuis le début de la guerre jusqu’au 4 août 1916 -
Capacité 225 lits - 12 soldats décèderont à l’hôtel pendant la Première Guerre mondiale -
Hôpital 91 Bis
Fonctionne depuis le début de la guerre, 12 septembre 1914 jusqu’au 4 août 1917 - Capacité 375 lits -
Hôpital bénévole 92 Bis
Annexe Hôtel des Princes. Fonctionne depuis le début de la guerre jusqu’au 31 décembre 1915 - Capacité 120 lits -
Hôpital bénévole 92 Bis
Fonctionne depuis le début de la guerre jusqu’au 20 novembre 1915 - Capacité 130 lits -
Hôpital bénévole 93 Bis
Fonctionne depuis août 1914 - Fermeture fin décembre 1915 - Capacité 90 lits -
Hôpital bénévole 94 Bis
Fonctionne depuis août 1914 - Fermeture décembre 1915 - Capacité 130 lits -
Hôpital bénévole 95 Bis
Fonctionne pendant toute la guerre - Service de grande chirurgie, spécialisé dans le traitement des soldats gazés - Capacité 120 lits -
Dr. Jacques de Poliakoff - Collaborateur médical Dr. Bandaline -
Hôpital bénévole 96 bis
Fonctionne depuis le 13 septembre 1914 jusqu’au 22 juin 1915 -
Hôpital bénévole 97 Bis
Fonctionne depuis le début de la guerre jusqu’au 30 juin 1915 - A reçu des blessés prisonniers allemands - Capacité 100 lits
Hôpital 99 Bis
Fonctionne depuis le début de la guerre, 30 août 1914 jusqu’au 10 janvier 1919 - Les infirmières étaient les sœurs dominicaines -
Hôpital bénévole n° 100 Bis
Fonctionne depuis le 2 septembre 1914 jusqu’au 23 novembre 1914 -
Hôpital bénévole 101 Bis
Fonctionne depuis le début de la guerre, 13 septembre 1914 jusqu’au 22 juin 1915 - Capacité 100 lits -
Hôpital bénévole 102 Bis
Fonctionne depuis le début de la guerre, 30 août 1914 jusqu’au 6 Juillet 1916 - Capacité 22 lits -
Crée et dirigée par le Dr. Laborde Pierre -
Hôpital bénévole 103 Bis
Fonctionne depuis le début de la guerre, 30 août 1914 jusqu’en janvier 1916 - Capacité 25 lits -
Dirigée par la Princesse Narischkine -
Hôpital bénévole 104 Bis
Fonctionne depuis le début de la guerre, 30 août 1914 jusqu’au 1 février 1916 - Capacité 16 / 20 lits -
Villa offerte et entretenue financièrement par son propriétaire Mr.Kennedy Tod, riche banquier New-yorkais.
Cette propriété de 14000 m2 achetée en 1911 dans le but d’édifier une maison de convalescence. Inaugurée en 1912 Mrs De Lostalot et Bastide devaient en être les médecins. En 1914 LILITEIA où l’on hospitalisait les officiers était administrée par M.Corrie. Médecin Dr. Bastide - Infirmière chef Mme. Agras -
Sources Monique Rousseau.
Hôpital bénévole 105 Bis
Annexe de l’Hôtel d’Angleterre il reçoit les malades contagieux - Fonctionne depuis le 28 octobre 1914 guerre, au 1 janvier 1916 - Capacité 25 / 40 lits -
Hôpital bénévole 106 Bis
Fonctionne depuis le début de la guerre jusqu’au 30 juin 1915 - Capacité 150 Lits.
Médecin Dr. Lavergne - Infirmières Mmes. Monjalon - Leconte -
Hôpital bénévole 158 Bis
Fonctionne du 14 juillet 1915 au 1 janvier 1916 - 40 lits - Annexe Hôtel d’Angleterre -
Fonctionne seulement pendant le mois d’août 1914 au 3 mai 1915 -
Hôpital auxiliaire 61
Fonctionne depuis le 20 janvier 1915 jusqu’en mars 1916 - Capacité 25 lits -
Hôtel auxiliaire 88
Fonctionne depuis le 29 août 1914 jusqu’au 16 septembre 1916 - Capacité 100 lits -
HOTEL EDOUARD VII
Rue des Chantiers
Fonctionne comme hôpital auxiliaire du Pavillon Henri IV - Fonctionne depuis le 29 août 1914 - Ferme le 10 janvier 1919 - Capacité 36 lits -
Actuellement Rue Abbé Moussempés - Ce fut à l’origine une clinique anglaise crée par Edouard VII pour soigner les nombreux résidents anglais à Biarritz. C’est avec le consentement du roi Georges V que la maison fut mise à disposition pour soigner les blesses pendant le conflit.
Le 16 octobre 1914 a eu lieu à Biarritz la première transfusion sanguine directe de la première guerre mondiale
Isidore Colas breton en convalescence, à la suite d’une blessure à la jambe, a sauvé par le don de son sang le caporal Henri Legrain du 45° RI arrivé exsangue du front - leur sang devait être compatible puisque l’opération réussit -